Citation :

reagan, jaime
i want you to remember, the things you felt while he was gone.

❧ IT'S MY LIFE

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❧ DIRTY LITTLE SECRET

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❧ LAST REQUEST

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L’hiver régnait dans ses yeux azurées, et un automne chaud et chaleureux résidait dans ceux de la brune. Il était planté devant leur point de rendez vous, comme pour ne pas changer de leurs habitudes coutumières. À cette époque là, ils formaient un couple entendu et l’amour régissait en grande partie leur manière de vivre et de voir le monde. Invincible ou pas, la réalité des faits avait très largement rattrapé le brun. Le père de Sutton avait été très clair en lui proférant des menaces dans un premier temps sur lui et dans un deuxième temps sur sa propre fille. De l’argent à outrance pour le maintenir à distance, il trouvait le comportement du paternel Rhodes puéril et complètement masochiste tout à la fois. Comment faire du mal à son enfant pour satisfaire une demande qui à coup sur finirait par la blesser. Seulement il n’avait pas le choix. La foule de gens berçait la ruelle principale menant à l’accès des escaliers du musée et malgré cela il pouvait voir la présence de Sutton se dégager au fur et à mesure qu’elle s’approchait de lui. « Désolée du retard, j’avais un mal fou à trouver une place à croire que c’est ma journée aujourd’hui. ». Lui avait elle dit d’un souffle légèrement saccadée par sa course. Elle approcha son visage du sien pour venir l’embrasser mais l’ange rigolard se détourna au dernier moment. « Jaime ? ». Elle arqua un sourcil, comme toujours lorsqu’elle s’inquiétait, une pensée qui le fit sourire mélancoliquement à l’intérieur de son esprit. Il planta dès lors ses yeux intenses sur son visage cristallin et doux à la fois. « C’est terminé Sutton, on arrête notre relation ici. ». Son timbre de voix glacial restait brutal à l’écoute, et même s’il ne transcrivait aucune émotion la douleur l’assiégeait en trombe ; laissant un trou béant à la place de son organe vital. En la regardant passait une main dans sa chevelure, le Reagan pouvait lire en elle comme dans un livre ouvert. Il pouvait y déceler la souffrance apparente, la panique visible, et lui infliger cela le tuait un peu plus. Et le seul lot de consolation qu’il c’était mis en tête pour atténuer son geste était de se dire qu’il faisait cela pour la protéger et rien de plus. « Tu me dois une explication Jaime ! Maintenant, qu’est ce qui se passe à la fin ? ». Il devait abrégé leur conversation avant de la blesser davantage même si cela était déjà fait. Il soupira d’une lassitude qu’il fit paraitre comme un acquis de quelques jours et rétorqua d’une façon tout fait impassible. « Arrête de vouloir une explication rationnelle Sutton. C’est fini, alors ne cherche pas des complications qui ne feront que te rendre mal à l’aise. L’horloge à fait son tour nous concernant alors laisse tomber. ». Son assertion hivernale eu plus ou moins l’effet escomptée, et des larmes perlaient sur les joues blanches de la jeune femme. Le brun aux reflets de jais glissa ses mains dans les poches de son pantalon, et se détourna d’elle sans un regard en arrière. Dans sa conscience et rien que dans la sienne il lui murmurait des phrases cherchant son pardon, mais ces dernières seraient désormais sans réponse de sa part.

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Il venait de poster une lettre, une missive qui comportait une vérité non avouée depuis deux années. Un laps de temps suffisant pour revenir sur sa parole et devoir la cause réelle de leur séparation. Sutton avait le droit à une honnêteté complète quand bien même il n’était plus ensemble. Il monta les quelques marches de la véranda lorsqu’il entendit de la vaisselle se briser sur le carrelage. Accentuant dès lors sa marche en direction de la cuisine, il fronça légèrement les sourcils en voyant sa jeune sœur recouverte de farine, une multitude de morceaux en verre éparpillés un peu partout sur le sol, un véritable désordre en somme. Le brun aux reflets de jais s’éclaffa d’un air narquois tout en considérant sa frangine avec réprobation. « Au moins c’est toujours aussi rassurant, la cuisine ne t’aime toujours pas. ». S’essuyant les mains sur son pantalon déjà en piteux état, elle baissa son regard coloré sur le sol immaculé d’ingrédient culinaire. « A qui le dis tu … Moi qui pensait que mes cours de cuisine finirait par payer je me toujours me brosser en attendant. ». Répliqua-t-elle avec un sourire d’infortune. Rire sous cape était bien le maitre mot entre les membres de la fratrie Reagan. Lena était venue se réfugier chez son ainé depuis sa rupture avec son copain, un type - comme tous les autres d’ailleurs - que l’ange rigolard n’avait jamais pu sentir au fil du temps. « Dis toi que ça fait parti de ton charme frangine. ». Il enleva sa veste en cuir et s’aventura dans le salon en mettant en marche le répondeur afin d’y écouter les messages de la matinée et de la veille. Lena le suivit sur les talons en croisant les bras alors qu’il triait le courrier fraichement arrivé de ce matin. Au moment où elle allait répliquer, une voix cristalline et optimiste lui coupa l’herbe sous le pied. Cette voix appartenait tout simplement à Jamie, l’une de ses clientes. Pleine de vie cette dernière et lui avaient très vite sympathisés et depuis sa cadette ne cessait de se faire de grand film entre eux. « Et bien on dirait que Jamie t’a laissée un message mon grand. ». « Lena tu veux bien arrêter tes idées saugrenues. Tu as de la chance d’être ma petite sœur sinon … ». « Je serai déjà dehors je sais bien. Désolé je me mêle souvent de ce qui ne me regarde pas. ». Son frère la considéra d’une expression entendu qui signifiait tout simplement de laisser couler l’affaire. Il ne lui en voulait pas le moins du monde et Jaime savait combien elle pouvait être soucieuse auprès de ses proches. Cette caractéristique était à la fois sa plus grande qualité mais aussi sa plus grande faiblesse envers autrui. Après une fraction de minutes, le Reagan reporta son attention sur son cellulaire qui vint bourdonner sur la petite table en verre du salon. « Je te laisse pour la journée le devoir du boulot m’appelle, on se voit plus tard. ». Dit il à son lien fraternel avant décrocher l’appel de son émetteur. Dans des conditions pareilles, il remerciait son existence d’avoir son métier, un domaine qui lui avait permit de mettre un frein grandissant sur sa relation avec son ex petite amie, qui malgré tant d’efforts déployés continuaient de vivre dans sa mémoire.

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« J’arrive pas à croire ce que tu me racontes Jaime. Je veux dire c’est un peu tiré par les cheveux tout ça. Tu penses avoir bien fait de lui écrire tout ça ? ». La voix coutumière de sa meilleure amie était calme et surprise à la fois. Caroline pensait réellement que le passé amoureux de son camarade avait été dépassé depuis le temps, mais pour preuve de le connaitre depuis bien des années, elle savait également qu’il avait un sens honnête de la vérité. Après deux ans d’absence et d’oubli l’un envers l’autre, le vétérinaire avait besoin d’être clair envers son ex petite amie afin de lui faire savoir que rien n’était de sa faute. Accoudé au comptoir du bar, il porta son verre de bière à ses lèvres en secouant la tête doucement une expression lointaine dessinait sur ses traits. « Ce que j’ai pu faire de bien ou pas n’a plus réellement d’importance. J’avais besoin de lui confier le pourquoi du comment et maintenant je peux tourner la page. ». Il fit claquer son verre sur le rebord en chêne, sous l’œillade de sa voisine qui demeurait tout de même sceptique. Elle plissa ses lèvres en une ligne mince avant de commander à son tour une bouteille de bière. Commande qui arriva très vite sur le comptoir, le barman ne semblait pas totalement hermétique à son visage angélique. « On dirait que tu fais de l’effet au barman ma grande. ». Jaime la taquinait et rien de plus. Il savait combien le sujet amoureux chez sa meilleure amie prenait des proportions énormes et la rendait hostile à la discussion. « Je ne trouve pas cela très drôle alors arrête tu veux. ». Un brin de sérieux lui chatouillait la voix et il en saisit assez pour comprendre que quelque chose la tracassait. « Dis moi un peu le fond du problème Caroline. Au lieu de faire paraitre la bonne vieille rengaine du je vais très bien ne t’en fais pas pour moi. ». Le jeune homme lui fit un clin d’œil encourageant afin qu’elle entame le sujet. La brunette respira calmement pour reprendre une certaine contenance but une petite gorgée de sa bière et se jeta à l’eau. « Le problème c’est qu’une certaine fille de ma connaissance est amoureux de son meilleur ami, très honnêtement parlant je trouve ça pitoyable et d’un cliché sans équivoque … ». Afin de la détendre pour qu’elle ne cesse de parler rapidement, Jaime déposa sa main sur les lèvres de sa camarade. « Respire Caroline. J’ai compris là où tu voulais en venir. ». Il esquissa un sourire malicieux et tendre à la fois, une habitude pour laquelle l’américaine craignait briser l’amitié qu’elle abordait avec lui. « Je ne crois que tu es réellement compris. ». Avait reprit sur un ton plus doux et sérieux. « Je ne veux pas briser notre lien Caroline, tu es importante pour moi et tu sais je crois que les liens amoureux ça me dépassent totalement désormais. ». Un léger silence s’imposa à eux, tandis que la musique de R.E.M faisait écho à leur discussion silencieuse. Alors dans un geste affectueux, la brune déposa sa main sur celle de son meilleur ami le tout accompagné d’un sourire maigre mais sincère. « Tu te trompes, je te connais assez pour le savoir. Laisse toi une chance dans ce domaine. ». Après une petite hésitation, elle se pencha vers lui pour l’embrasser. Un échange qui contrairement à ses attentes trouva une réponse et non un blanc d’erreur.

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soon soon .

je voudrais un lien.

Pas touche.
Tu me fais tellement d'effet avec Ian. On va gérer nos RPs, comme d'habitude. Ca faisait longtemps que je voulais que ça arrive de nouveau.

Olivia avec plaisir pour le lien faut pas bouder

Et toi avec Nina je te retourne le compliment.
Yep on va gérer c'est vrai que ça faisait un petit moment (a) et puis ce lien de fifou

Cherches-tu à me tuer, sale enfant, avec une écriture aussi belle ? J'adore te lire, ça n'a pas changé.

T'es hyper sexy, mon dieu.

oh t'es gentille mon amante (surnom qui est venu tout seul vu leur lien faut pas chercher )
Contente que cela te plaise en tout cas.

Vandellan c'est toi la plus belle oui.

Je serais ton amante comme tu veux honey, surtout quand t'es sexy comme ça.