L. Ondine Windsord
▲ Messages : 57 ▲ Crédits : Hells Angel ▲ Célébrité : Candice swanepoel ▲ Pseudo : Lilye
| Sujet: (M) TORTORELLA △ un jeu débile, mais c'était notre jeu. Sam 1 Oct - 9:51 | |
| - Citation :
nolan andrew pharell
nom(s) ∆ Pharell. prénom(s) ∆ Nolan Andrew surnom(s) ∆ No'. âge ∆ vingt trois ans lieu de naissance ∆ au choix. statut civil ∆ célibataire. études/métier ∆ au choix groupe ∆ the reason. avatar ∆ nico tortorella. traits de caractère ∆ Impulsif, séducteur, macho, possessif, drôle, bavard, franc, égocentrique, protecteur, attentif, calculateur, sensible dans le fond, extraverti, impatient, amicale, arrogant, imprévisible. ❧ TELL ME EVERYTHING ABOUT YOU.
Nolan n'est pas quelqu'un de très démonstratif niveau sentimentale, il considère d'ailleurs ses derniers comme une faiblesse ce qui fais souvent qu'il se braque lorsqu'on cherche a trop en savoir △ il n'est jamais tomber amoureux, jamais si ce n'est de Ondine sa colocataire pourtant la fierté, la peur de l'engagement les pousses a se rejeter △ Il n'a jamais eu de bon rapport avec son père qui a voulu toute sa vie reporté ses propres frustrations sur son fils, bien sûr Nolan avec un caractère comme le sien n'a fais que le décevoir △ C'est un salaud, clairement les filles ne diront pas autre chose à son sujet, pourtant ceux qui le connaisse réellement vous dirons qu'il y a bien plus. Dans le fond il est quelqu'un de sensible et altruiste, seulement c'est bien enfoui △ Il tourne rarement autour du pot, si il a quelque chose a dire, il le dit quitte à blesser △ il a été mannequin durant deux ans mais c'était pour lui un simple passe temps. ❧ IT'S ONLY YOU AND ME
- Spoiler:
je fini mon verre le faisant claquer contre le comptoir avant de sourire bêtement, je me lève, effort vertigineux qui me fais presque aussitôt tourner la tête, je sens mon pied se perdre, chute imminente quand un bras m’intercepte, j’ai dû mal à comprendre, une voix en fond sonore se fais entendre « j’vais m’en occuper, elle a beaucoup bu ? » « Une bouteille et demi depuis qu’elle est arrivé » je reconnais mon colocataire, ce con « qu’est c’que tu fais ici ? » il rigole, dégageant les mèches venus encombrés mon visage « une fois de plus je viens te sauver » « j’pas besoin de toi » je prends appuie sur lui, sortant de cette endroit dans lequel j’avais niché toute la soirée… Je peine à marcher, je ne tiens presque plus debout, parce-que s’est ça LA grosse cuite menstruel, celle qui te remet les idées en place.
Il m’amène vers sa voiture « hop ! Hop ! Hop ! T’es sam ? » « Ouais, j’suis réglo » je rigole, déviant de ma trajectoire, mon corps balance tantôt à droite, tantôt à gauche « tu t’appelle pas sam ! » il lève les yeux aux ciels, souriant légèrement « allez, commences pas où je viens te chercher » « je crie fort si tu m’attrapes » il monte alors, démarrant la voiture presque aussitôt, la fenêtre s’ouvre, sa tête entre dans mon champs de vision « bonne soirée » « naaaaan ! Me laisse pas ! Je pourrais pas rentrer » il sourit j’ouvre la porte il accélère au même moment « RECOMMENCE PAS ! Allez euuuuh ! » il joue avec moi, comme il a toujours aimer le faire, ça l’amuse de me rendre folle de lui, de me pousser à me détester parce que le seul gars auquel je m’approche est un de ces gars auquel il n’est pas bon de s’accrocher.
« Qu’est ce qu’on fête là ? » « Ma promotion… » je souris m’approchant de lui d’un pas enthousiaste, je le prend dans mes bras « je suis ravie pour toi ! » « Merci, sans toi j’y serais pas arrivé. » « Ouais c’est clair » je rigole et son rire accompagne le miens, il me tend une coupe, mes yeux se plongent dans les siens « a ton avenir » il se mordille la lèvre avant de sourire « a notre avenir. » pour lui, ce n’est que des mots, je sais que ces mots il ne les pensent pas que de toute façon un gars comme lui se voit seule dans son avenir, et moi ? Moi j’suis quoi ? J’suis devenue de ces filles qui pensent par un gars tout au long de leurs journées, j’lui laisse avoir le dernier mot, décidé pour moi, parler de « nous » comme ci c’était normal.
Après quelques verres, nos langues se délient, je sens l’ivresse, et mes paroles ne font que souligner l’état avancer dans lequel je suis, lui son seuil de tolérance n’est toujours pas atteint, à ce jeu là il a toujours été le plus fort « moi j’y ai dis au patron j’suis un boss ! J’y peu rien, tout le monde m’aime, tout le monde me veux » je rigole, apportant mon verre à mes lèvres « toi tu veux toujours tout » « t’avoir toi ça m’suffirait » mon verre me glisse des mains, l’électrochoc, je rigole « tu te rends compte de ce que tu m’dis là ? » « Non pas trop. » « Ah ouais j’me disais. » il s’approche de moi « tu veux que je te dise quelque-chose que je pense ? » « Moi d’abord ! » il m’embrasse « je t’aime »
« ce que je t’ai dis hier, c’était l’alcool » m’avais il lancer tandis que je déjeuner tranquillement, j’avais hochais les épaules « d’accord. »
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