SOMEONE LIKE YOU. (en cours)

Citation :: Charlie Joy Roseberry.
L'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur. Les êtres s'attachent et deviennent dépendants les uns des autres à tel point que lorsque l'un vient à partir, le monde s'écroule autour de l'autre.

❧ IT'S MY LIFE

nom(s) ∆ Roseberry. Ridicule n'est-ce pas ? Mon père était un crétin et moi, je suis dans l'obligation de porter son nom jusqu'à la fin de mes jours. Je pourrais changer, certes, mais j'ai pas deux cent euros à perdre pour ces conneries, alors tant pis. prénom(s) ∆ Charlie Joy. Un prénom qui ne me va pas du tout pour être franche. C'est vrai, si vous êtes le moindrement brillant, vous comprendrez que Joy, c'est joie. Vous comprendrez d'ailleurs que Joie, c'est pas moi. surnom(s) ∆ Chuck, rien d'autre. Pour tout dire, personne ne m’appelle Charlie, pas même ma mère. Pour tout le monde, depuis toujours, c'est Chuck, tout simplement. âge ∆ Déjà vingt et un ans. C'est tout de même fou à quel point la vie va vite. Vous vous réveillez un matin et vous êtes adultes, vous devez prendre des résolutions, de grandes décisions et vous devez dire au revoir à cette adolescente innocente que vous étiez. date et lieu de naissance ∆ Quatorze février mille neuf cent quatre-vingt-dix à Urbana, Iowa. J'ai toujours vécu ici et malheureusement, je vais sans doute aussi y crever. statut civil ∆ En couple avec la nuit, c'est une bonne réponse ? L'amour, l'amour, toujours l'amour. Et puis quoi encore ? Faut arrêter de vivre comme dans un conte de fées, aimer, c'est pour les nuls. études/métier ∆ Serveuse depuis environ trois mois au Joensy's restaurant, je n'aspire à rien d'autre pour le moment. groupe ∆ The reason. traits de caractère ∆ Froide ; manipulatrice ; rusée ; égoïste ; moqueuse ; curieuse ; sensible ; indépendante ; désillusionnée ; rancunière ; franche ; provocatrice ; râleuse ; douce ; jalouse ; attachante ; impatiente ; colérique ; généreuse ; protectrice.

❧ DIRTY LITTLE SECRET

∆ Contrairement à bien des gens, elle aime plus que tout ses cheveux. Selon elle, avoir une chevelure rousse tel le feu est loin d'être un inconvénient. ∆ Si ce n'était que d'elle, la jolie se promènerait nue dans les rues. ∆ Elle a bien tenté de croire à l'amour plus jeune, mais la pauvre n'a récolté que des problèmes. Depuis, elle s'en fou comme l'an quarante. ∆ La rouquine s'est déjà envoyé en l'air avec l'ex fiancé de sa soeur, d'où leur mauvaise entente. ∆ Depuis, elle ne lui adresse plus la parole. ∆ Elle aurait aimé devenir mannequin mais elle a au final, perdu espoir. ∆ Ses deux pires drogues; café et cigarette. La jolie fume comme une véritable cheminée et doit s'envoyer au moins six cafés pas jours. Ceci, sans aussi compter tous les verres ou bouteilles qu'elle peut se faire en une soirée. ∆ Mentir ? C'est son deuxième emploi. ∆ C'est un véritable petit oiseau de nuit. ∆ À la naissance, elle avait une soeur jumelle, mais cette dernière à rendu l'âme après trois heures de vue. ∆ Secrètement, elle écrit des poèmes, des récits, des trucs qu'elle ne montrera jamais à personne, malheureusement. ∆ Selon elle, sa vie se terminera à l'âge de vingt-six ans. Elle n'aspire pas à se rendre bien bien plus loin. ∆ C'est une végétarienne et militante pour les animaux dans l'âme. D'ailleurs, elle possède un tout petit chat qu'elle a prénommé Hendrix, en l'honneur de son idole.

❧ LAST REQUEST

Spoiler:

❧ IT'S ONLY LIFE

« Je te plains Ethan. » Il relève doucement la tête, le sourcil arqué en signe d'incompréhension. « Tu veux dire quoi par là Chuck ? » « Pour Marley, ta fiancée et ma soeur. » « C'est quoi le problème ? » Soit il est réellement con, soit il le fait exprès. Pour être bien franche, j'opte pour la première option. Après tout, quel genre de taré faut-il être pour demandé ma frangine en mariage ? « Et bien je te plains, t'es coincé avec cette tarée pour le restant de tes jours, tu t'imagines ? » Un sourire accroché au coin des lèvres, je passe tout doucement ma main contre sa nuque. Je sais que c'est mal, que j'agis en vraie garce, mais c'est plus fort que moi. À croire que je suis née pour tout détruire autour de moi. « Chuck, c'est pas une bonne idée .. » Je ne l'écoute plus, je n'écoute plus rien et tendrement je m'empare de son visage avant de déposer mes lèvres contre les siennes. Je ne l'aime pas, il est débile, complètement con même, mais je ferais tout et n'importe quoi pour détruire le coeur de ma soeur, pour lui meurtrir le peu d'estime qu'il lui reste. Un monstre ? Peut-être, ça ne me fait ni chaud ni froid de toute manière. « Je .. peux .. » Il ne prend même pas la peine de terminer sa phrase qu'il me plaque contre le mur, agrippant mes jambes autour de lui. Je fais une belle bêtise, sans doute la pire de mes conneries et pourtant, je n'en éprouve pas le moindre remord, pas la moindre culpabilité envers Marley. Les secondes devinrent des minutes et le plaisir ne faisait qu'augmenter. Pour moi, il n'est qu'une proie parmi tant d'autre, un amusement comme un autre. Pour lui, je suis une garce, la trainée de jeune sœur, pas même majeure du haut de ses dix-neuf ans. Le plaisir est tant, que je n'entends même pas la porte se fermer, tout comme je n'entends pas les pas qui se dirigent ici. Ou du moins, ma tête ne voulait pas les entendre, je veux la voir souffrir, voir sa gueule de pauvre fille lorsqu'elle sera témoin, lorsqu'elle verra son mec se farcir une autre. « Ethan ... » Dans un souffle, son visage vire au blanc, ses yeux deviennent brillants et en moins de deux, je me retrouve sur le cul, peu vêtue. Objectif atteint.

Extrait de journal.
Je suis dehors, j'ai plus le droit de vivre ici et pour être bien honnête, ça m'arrange. Aux yeux de ma famille, je suis qu'une trainée, une pauvre enfant déchue, née par l'entremise de Satan. De vrais débiles je vous assure. De toute manière, qu'est-ce que ça peut bien changer, j'ai réussis ce que je voulais faire, j'ai détruis le coeur de ma soeur, je l'ai broyé et je dois avouer que ça me fais un bien fou. Je ne suis pas débile ou encore complètement tarée, je ne fais que lui renvoyer la balle, je ne fais que lui faire payer tout le mal qu'elle a pu me faire et ce, depuis que j'ai pointé le bout de mon nez il y a dix-neuf ans. Tous les coups bas, tous les fois où elle a penser être meilleure, où elle a prit toute la place alors que moi, je récoltais que de la merde, au bout du compte elle a payé. Je me retrouve dans la rue pour une telle bêtise, certes, j'en suis consciente, mais je ne suis pas née avec ce visage d'ange pour rien. Faire les yeux doux, ça paye dans la vie.

« T'es certaine que t'as pas envie de sortir ? » Je hoche délicatement la tête avant de replonger le bout de mon nez dans ce bouquin. « Chuck qui préfère une merde livre plutôt qu'une sortie en boite, j'aurai tout vu. » Il pourrait pas ferme sa gueule celui-là. Il me rend malade avec ces commentaires à la con. « Écoute moi bien Julien. Le fait que je reste avec toi en colocation ne signifie pas que je doive sortir avec toi chaque fois que tu sors et ça ne signifie pas non plus que j'ai envie de faire la fête chaque foutus soirs. J'ai un boulot tu sais, j'ai pas le portefeuille de maman et papa pour vivre alors t'arrêtes de me faire chier ouais ? » Voilà ce que je dois supporter tous les jours et ce, depuis maintenant six mois. « Je te ferai remarquer que c'est tout de même grâce au portefeuille de ma famille que tu crèche ici sans rien payer, alors cesse de faire ta geignarde la gamine. » Gamine ? Il se fou de moi. « T'as que vingt-deux ans Julien, ne te prends pas pour un adulte alors que t'es certainement plus gamin que moi. » Cette fois, j'ai laissé tombé mon bouquin et me voilà debout, prête à lui sauter à la gorge. « Tu sais que t'es mignonne quand tu pète un câble. On dirait un volcan prêt à exploser. » Malgré la haine que je peux éprouver pour lui en cet instant, je ne peux m'empêcher de sourire avant de lui assener un léger coup de point sur l'épaule, coup de point qui pour lui, semble plus à une chatouille qu'autre chose. « Allez cheveux de feux, retourne à ton petit livre à la con, moi je me barre, j'ai des canons à rencontrer. Tu es certaine de pas venir ? Parce qu'une fois partit, je vais pas me refaire le chemin pour venir te chercher et tu vas être contrainte de passer ta soirée ici, seule, à ruminer sur ta pauvre petite vie misérable. » Connard. « Non ça va, dégage. » Il rigole légèrement avant d'ouvrir la porte. « Je suis chez-moi, je dégage quand je veux. » C'est ça, va.

Extrait de journal.
Je déteste Julien, je le déteste tellement, que je finis par l'aimer au fond de tout. C'est certainement le pire connard, un putain d'enfoiré et pourtant, je suis incapable de réellement le haïr, il dégage un truc, un petit quelque chose qui étrangement, me plait. Attention, je suis pas amoureuse. Non parce qu'être amoureuse, c'est que pour les cons, je l'ai toujours dit et ça ne changera pas de si tôt, seulement je sais pas, il est le seul en qui j'aie réellement confiance, le seul qui me lâchera jamais, je le sens. Après tout, il m'a laissé créché chez lui quand ma grand-mère m'a foutu la porte, après que mon père et ma soeur l'aient eux aussi fait et au moins, en ce qui concerne Julien, je le sais qu'il me laissera jamais seule dans la rue. D'ailleurs, j'ai croisé Marley il y a peu. C'est à peine si elle m'a lancé le moindre regard et étrangement, je me suis sentis mal. Non pas que je regrette le geste que j'ai commis il y a deux ans, loin de là, mais j'ai vu qu'elle était toujours aussi malheureusement et après deux ans, je crois que ça suffit. Que six cent jours de malheur, c'est bien suffisant. Reste à savoir si je tiens toujours à la ravoir dans ma vie cette conne. - Parce que ouais, une conne restera toujours une conne, quoi qu'il en advienne. -

Une lettre parmi tant d'autre, une autre feuille qui finira à la poubelle, un arbre mort pour rien. Mais qu'est-ce que ça peut bien foutre ? Tu vois, c'est peut-être la vingtième lettre que je t'écris et pourtant, aucune n'est arrivé à destination, aucune n'a même jamais quitté ces quatre murs. À savoir pourquoi, je n'ai jamais trouvé le courage de les mettre dans une enveloppe, des les envoyer. Je crois que c'est trop dur, que d'une certaine façon, j'ai peur d'une future réaction, peur que tu n'arrives même plus à reconnaitre les mots. Je n'ai jamais été une enfant facile maman et j'en suis consciente. Je t'ai causé bien des misères, dernièrement j'ai réussis à me mettre à dos les dernières personnes de ma famille qu'il me reste et pourtant, je continue. Je continue à jouer les débiles, à faire comme si de rien était, comme si je pouvais encore me permettre des perdre des gens autour de moi. Je suis pathétique, non, la vie est pathétique, voilà tout. On se réveille un matin et notre vie est rendu de la merde. Présentement, je vis chez Julien. Julien, c'est un pote à moi, un mec que j'ai rencontré dans un bar et tu vois, entre lui et moi, il y avait comme cette étincelle. À savoir pourquoi, dès que j'ai croisé son regard, il s'est passé un truc, comme un clic entre nous. Je suis pas amoureuse, je serai jamais amoureuse, mais il est la seule personne qu'il me reste, le seul en qui je peux avoir confiance et encore. J'ai peur de me retrouver à la rue un bon matin tu sais. Parfois, je me dis que je devrais m'excuser à Marley, que même si j'en éprouve aucuns remords, ça pourrait calmer les choses mais j'en suis incapable. L’orgueil passe avant tout je crois. Si tu savais le nombre de fois où j'ai voulu aller te voir maman, si tu savais le nombre de soirs où je me suis couché en me promettant d'aller te voir le lendemain. Seulement, je ne suis pas capable. Je ne veux pas arriver là et voir que tu m'as oublié, que je ne suis plus qu'un vague souvenir à tes yeux. Ça me ferait trop mal maman, beaucoup trop mal. Je t'aime tant.

Cintiaaaa ! bienvenue

La magnifique Candice, merci beaucoup.

elle est très belle I love you

je te souhaite la bienvenue parmi nous et merci encore pour les compliments. Néanmoins, je tiens à te signaler que Dieu, c'est moi. SOMEONE LIKE YOU. (en cours) 1113388014

Bienvenue. I love you

Bienvenue parmi nous. I love you

des nouvelles ?
je déplace ta fiche (: